Par la trace gravée, l’image imprégnée de temps, l’étude des symboles, des mythes, des figures carnavalesques dans lesquelles mouvement, mue, facétie et transformation se croisent, Agnès Dubart poursuit depuis 2008 sa recherche au creux de l’image. Lune, danse sacrée, mandragore et autres graines se projettent dans les tailles.
Ovide, dans les invocations du livre premier de ses Métamorphoses, écrit, «Inspiré par mon génie, je vais chanter les êtres et les corps qui ont été revêtus de formes nouvelles, et qui ont subi des changements divers. Dieux, auteurs de ces métamorphoses, favorisez mes chants...» A.D